Étapes faciles pour réussir la photopolymérisation de la résine composite


La dentisterie a été révolutionnée au cours des 50 dernières années, ce qui a conduit à la commodité d’obtenir rapidement une lampe à photopolymériser à LED.

Les matériaux dentaires photo-activés, y compris les ciments à base de résine, les composites et les scellants, font partie intégrante de la routine dentaire quotidienne. Les unités de photopolymérisation pour composites dentaires sont des dispositifs électroluminescents portatifs utilisés pour polymériser ces matériaux de restauration à base de polymères photo-activés.

Lampe à polymériser les dents

Tout comme les matériaux de restauration, les lampes à polymériser composites ont parcouru un long chemin et, sur une période, des changements drastiques sont observés en termes de taille, de forme, de puissance, de source, etc.

Le traitement approprié est important :

Un composite mal polymérisé peut provoquer des différences de pression le long des tubules dentinaires. Un durcissement incorrect peut également entraîner une dégradation marginale et même une fracture du matériau. Il ne s’agit pas seulement de tenir la lumière au-dessus de la dent. Il y a plusieurs facteurs à prendre en considération lorsque vous réfléchissez à la façon dont la lumière à polymériser composite affecte votre restauration.

Facteurs qui contribuent au succès du durcissement de la résine composite :

  1. Intensité lumineuse:

La première chose est l’intensité lumineuse. La plupart des lampes actuellement disponibles sur le marché ont une forte intensité d’environ 1000 mw/cm2. Cependant, cette intensité peut chuter sur une période si vous ne surveillez pas votre lumière régulièrement et ne vérifiez pas leur rendement.

L’intensité du faisceau permet une pénétration plus profonde des photons dans le matériau. Ainsi, les teintes composites plus foncées absorbent davantage et doivent donc être placées en couches plus fines et durcies en utilisant plus de cycles. Inversement, les teintes composites plus claires permettent une plus grande profondeur de durcissement et peuvent être placées en couches épaisses. De plus, l’intensité lumineuse varie comme dans le cas du tenon et du noyau ou l’intensité requise est supérieure, alors que pour la restauration, l’intensité requise est inférieure pour éviter le risque d’augmentation de la température pulpaire et de la nécrose pulpaire.

  1. Profil de faisceau de durcissement

Le profil du faisceau est la distribution de la lumière bleue de la sonde lumineuse. Il doit y avoir une répartition uniforme de la lumière sur toutes les zones du composite pour éviter toute bulle d’air emprisonnée ou un durcissement inégal du composite est un facteur majeur d’échec de la plupart des restaurations en composite de classe II près de la marge gingivale qui présente un risque plus élevé de carie secondaire.

La lumière de la pointe doit être plus focalisée et concentrée pour une polymérisation uniforme de la résine composite. Parallèlement à cela, les dispositifs avancés de photopolymérisation dotés de la technologie polywave qui permet non seulement la lumière bleue mais aussi le faisceau bleu-violet qui polymérisent avec succès de nombreuses résines composites améliorées.

  1. Longueur d’onde de l’unité de photopolymérisation :

Récemment nouveau photo initiateurs ont été introduits qui sont sensibles au rendement lumineux, c’est-à-dire TPO, un photo-initiateur de nanoparticules. Il est absorbé dans la plage de longueurs d’onde étroite de 380 à 405 nm. Les dispositifs de photopolymérisation couramment utilisés ont une plage de longueurs d’onde de 420 à 470 nm qui est insuffisante pour le durcissement adéquat de la résine contenant du TPO. Le TPO fait partie des polymères pouvant être polymérisés en couches épaisses, ce qui accélère le processus de restauration.

Comment la restauration composite doit-elle être effectuée ?

La restauration composite est un processus sensible à la technique et pour éviter toute forme de retrait de polymérisation, la polymérisation en plusieurs étapes est indispensable pour les grandes cavités.

La cavité préparée à restaurer doit être correctement accessible avec un positionnement correct de la sonde lumineuse.

La pointe lumineuse doit être aussi proche et perpendiculaire à la cible. Si la pointe est plus petite, une polymérisation en plusieurs étapes est indispensable.

De plus, la source lumineuse doit être stabilisée pour fournir une énergie adéquate. De plus, le placement en plusieurs étapes du composite réduit les risques d’emprisonnement d’air, offrant ainsi une étanchéité complète.

Woodpecker DTE O-Light Plus :

Pic O Light PlusDTE O-Light plus par Woodpecker fournit une lumière focalisée de haute précision et de haute intensité pour une polymérisation efficace du matériau de résine car il contient le nouveau photo-initiateur de style TPO. Avec la lumière bleu-violet nouvellement améliorée, le photo-initiateur de nouveau style peut également être durci efficacement. Le plus grand avantage de O light plus est le durcissement en 1 seconde avec une sortie de lumière de mise au point améliorée pour un meilleur durcissement et une pénétration plus profonde dans des cas tels que le placement de poteaux et noyaux, de placages et de supports orthodontiques. Parallèlement à cela, la conception ergonomique avec modes et réglage de l’heure le rend pratique à utiliser. Le durcissement devient plus rapide et efficace sans aucun risque de retrait de polymérisation ou de fuite marginale.

Conclusion:

DTE O-Light plus semble être l’une des meilleures options de lampe à polymériser composite basée sur les caractéristiques avancées d’une bonne longueur d’onde de travail, d’une conception ergonomique et d’un spectre d’ondes plus large amélioré.